[Catherine Dupérou, Le Matricule des anges]
« Dans une langue précise, Françoise Gérard tisse les fils d’une histoire sensible. Elle nous offre le récit imparfait d’une existence s’ouvrant au monde. Un morceau d’enfance déchiré par l’absence. »

[Christiane Rolland Hasler, Brèves]
« La jeune héroïne est sur le fil de l’enfance, d’où cette écriture qui se balance, rapide, parfois essoufflée, s’efforçant de tout observer, ainsi que le fait une enfant curieuse et qui s’interroge. »